Qui pousse dans le sable,
La pervenche trop périssable,
Ou ce fenouil amer
Qui craquait sous la dent des chèvres
Ne vous en souvient-il,
Ni de la brise au sel subtil
Qui nous brûlait aux lèvres ?
Translation
The sea-pink and the immortelle
Pushing through the shingle,
The delicate periwinkle,
Or this bitter fennel
That the goats' teeth nips -
Remember these?
And the subtle salt breeze
That burned our lips?
Notes:
Urruty tries to claim this one
for Mauritius (Well, check the botany – and anyway Toulet published it in
“Comme une fantaisie” under the title “Le Pays basque”)
ARANJO
p. 167: Tel poème littoral, et son immortelle littorale et son œillet de mer,
nous ne devrons plus savoir qu’il était d’abord, par son titre initial, emprunté
au Pays basque ; ce bouquet littoral n’en demeure que plus littoral, et
cet œillet de mer, que plus marin, n’étant plus de cette mer plutot que de
cette autre ……
No comments:
Post a Comment