Que faut-il davantage
Pour y mettre son héritage
Ou son coeur en morceaux ?
Où sont-ils, tout remplis d' alarmes,
Vos yeux dans la noirceur,
Et votre insupportable soeur,
Hélas ; et puis vos larmes ? "
Tel s' enivrait, à son phébus,
D' un chocolat d' Espagne,
Chez Guillot, le feutre en campagne,
Monsieur Bordaguibus.
Translation
“Bayonne! Just to stand in the arcades,
What more is necessary
To comprehend his legacy,
Or his heart in shreds?
Where are they, wide with fear,
Your eyes in the pitch,
And that unspeakable bitch
Your sister; and then your tears?”
And Bordaguibus’ pompous flattery,
And his posh city hat,
Getting tipsy on Spanish chocolate.
in Guillot’s chocolaterie.
Notes:
Guillot was a famous chocolatier at Bayonne, famous for his cinnamon-flavoured product.Bordaguibus may be based on a pharmacist at Salies-de-Béarn called in reality Stanislas Bordaguibel. He was born in 1847 and died in 1957 at the grand age of 90. However, Toulet may just have borrowed his name, and his characteristics may well belong to another. Peter Cogman notes the following:-
Un collectionneur qui connut H. Martineau a dit que l’inspirateur était le pére de Jean Borotra. Jean Robert Borotra est un joueur de tennis et homme politique français, né le 13 août 1898 à Biarritz de Henri Borotra et de Revet Julienne Margueritte Laurence Suzanne, décédé le 17 juillet 1994 à Arbonne. Surnommé le Basque bondissant, il y mit en œuvre une technique particulière, jouant alternativement de la main droite ou de la main gauche selon le côté où il recevait la ball (Adolescent, il pratiquait la pelote basque) Il était l'un des « Quatre Mousquetaires » qui s'illustrèrent notamment avec l'équipe de France en Coupe Davis dans les années 1920 et 1930.
le feutre en campagne : le chapeau de feutre cherchant à faire des conquetes.