Once again I've skipped a sequence, until I find a solution that satisfies. Meanwhile, here is Contrerime IX, subtitled Nocturne.
Ô mer, toi que je sens frémir
À travers la nuit creuse,
Comme le sein d' une amoureuse
Qui ne peut pas dormir ;
Le vent lourd frappe la falaise...
Quoi ! Si le chant moqueur
D' une sirène est dans mon coeur-
Ô coeur, divin malaise.
Quoi, plus de larmes, ni d' avoir
Personne qui vous plaigne...
Tout bas, comme d' un flanc qui saigne,
Il s' est mis à pleuvoir.
Translation:
Across the night’s hollow,
O sea, you whom I sense quiver
Like the breast of a lover
Turning on her pillow;
The heavy wind strikes the bluff…
What! If the mocking dart
Of a siren is in my heart –
O heart, divine rebuff.
What, no more tears,
Since no one heeds…
Quietly, like a heart that bleeds,
The rain appears.
Monday, November 23, 2009
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